Notre chef suprême est encore allé passer ses vacances chez des amis à bord de l'avion personnel d'un copain.
C'est trop de gentillesse de sa part; il ne veut pas nous faire payer ses congés et fait comme beaucoup d'entre nous : hebergé et transporté par des potes.
La différence, c'est que ses potes ne sont pas les mêmes que les nôtres.
Les nôtres, justement, quand il s'agit de renvoyer l'ascenseur se contente d'une bonne bouffe ou d'un coup de main pour un déménagement.
Je ne pense pas que Bolloré et l'émir d'Abou dabi se satisfassent d'un repas, même avec Carla aux fourneaux.
J'aimerais savoir ce que le petit teigneux va leur offrir en compensation.