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    Tous les ans, on me propose soit de convertir ma participation en actions soit d’acheter un certain nombre de celles-ci à un taux intéressant.
    Je refuse !

    Non non, ne me prenez pas pour le Superman de l’action sociale anticapitaliste ou bien pour le saint laïque préférant vivre dans le dénuement plutôt que dans l’opulence.
     
    Tout simplement, je ne veux pas me retrouver dans la situation de l’âne de Buridan incapable de choisir entre l’avoine et l’eau.
     
    En tant que salarié, je dirais : « Augmentez moi, patron et gardez mon emploi ».
    En tant qu’actionnaire, je dirais : «  Foutez moi à la porte ce bon à rien improductif et trop payé ! ».
     
    Je préfère donc m’abstenir et ne pas avoir à faire ce choix qui m’empêcherait de dormir.

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  • sarkojupp---copie-1.jpg

    Les sondages faisant la politique, not’ président n’a plus rien à voir avec les municipales contrairement avec ce qu’il avait dit le semaine dernière.
    Dans le même style faux-cul, Juppé, l’ex « meilleur d’entre nous » a fait retirer toute référence à l’UMP dans sa permanence électorale et sur ses affiche.
     
    Après Sarkozy la chance, Sarkozy la scoumoune ?

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    Quelqu’un peut-il m’expliquer le paradoxe de la distribution de l’eau ?
    A priori, quand le fournisseur d’une prestation est imposé, ça s’appelle un service public.
    Or, c’est le cas pour l’eau ; je ne peux pas choisir mon fournisseur mais, curieusement, c’est une société privée qui se gave. Et, bien sûr, une société hyper-libérale.
    Normalement, dans ce monde de requins, il n’y a pas de clientèle captive et la concurrence fait baisser les prix ( disent-ils ! ) mais ici, rien de tout ça.
    Comment ces mercantiles adeptes de la libre concurrence arrivent-ils à assumer cette contradiction ? Mystère.
    Cependant, je ne pense pas qu’ils se fassent des nœuds au cerveau du moment qu’ils s’en mettent jusque là …

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  • Décidemment, notre calife n’a pas potassé le manuel de savoir-vivre de la baronne.undefined
    Non seulement il embrasse tous les chefs d’états comme si c’étaient des parents mais lui, le fou de dieu, soi-disant catholique ne sait même pas comment on doit se comporter vis à vis du pape et lui serre la main au lieu de baiser son anneau.
    Cependant, le plus choquant demeure son comportement vis à vis des obscurs et des sans-grade. Chaque fois qu’il discute avec des salariés dans une entreprise, il les tutoie allégrement comme s’il s’adressait, sous l’ancien régime, à ses « gens ».
    Outre cette preuve d’impolitesse de la part de quelqu’un qui ne sait pas se tenir, c’est une démonstration de son mépris vis à vis de ceux qui ont contribué à l’élire mais qui ne font pas partie du gratin car, est-ce qu’il tutoie de façon aussi dédaigneuse les patrons de ces mêmes salariés ?

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  • Le 2 février 2006 à Madrid, Lakshmi Mittal a affirmé que sa société n’avait «pas l’intention de fermer des entreprises ni de supprimer des emplois».
    Le 19 mai suivant, il avalait Arcelor.
    Aujourd’hui, il ferme le site de Grandange et supprime 600 emplois.
     
    Comme quoi en économie comme en politique, les promesses n’engagent que ceux qui y croient.

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